Description
Le berger vieux tient un agneau sous le bras et une lanterne allumée dans sa main gauche. Il est coiffé d’un chapeau à large bord, qui protège du froid et du soleil.
Il est enveloppé dans la célèbre cape de berger :
– sa cape est en grosse toile huilée, marron, la doublure est en coton beige, pour protéger du froid du mois de décembre,
– elle est pourvue d’un large col, qui descend jusqu’aux coudes, le berger peut le rabattre sur sa tête en cas de vent glacial.
Ses pantalons sont gris, et le bas de ses jambes, recouverts de guêtres en peaux, maintenues par des lacets, noués sous les genoux.
Ses chaussures sont de couleur noire, cirées tous les matins afin d’en faire long usage, et pour les rendre imperméables aux flaques d’eau rencontrées.
Le berger vieux est le patriarche, c’est lui qui a transmis son expérience du métiers à son épouse (la bergère vieille) et à son fils (le berger jeune) qui le remplacera,
quand il aura atteint l’orée de sa vie.
Il faut le placer en tête du troupeau, noblesse oblige, car il saura ce qu’il convient de faire si un danger se présente.
A ses côté, il convient de mettre un fier bélier qui se chargera d’ouvrir la route de ses congénères.
Vers le milieu du troupeau, je conseille d’installer la bergère vieille, elle suit la marche du troupeau qui est mené par le berger vieux.
S’il lui arrive une quelconque mésaventure, son fils, le berger jeune, qui ferme le long défilé, pourra aussitôt lui porter secours.
Pas loin de la bergère vieille je conseille de mettre l’âne qui porte l’agneau sur son dos.
On peut mettre des chèvres un peu à l’écart du troupeau, car elles sont particulièrement espiègles et pas très obéissantes… il faut alors envoyer un chien pour rabattre les effrontées.
Dans le même ordre d’idée; il faut mettre la chevrière qui tire sa chèvre, un peu à l’écart, en direction du troupeau.
